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u XXIème
siècle, l’informatique
a su s’imposer et détient désormais une place considérable dans notre
quotidien. Pourtant, l’ordinateur a connu des
débuts difficiles. En effet, comme toute nouveauté, il d’abord était perçu
comme néfaste pour la société.
Le peuple, suspicieux, pensait que cette machine
contribuerait à son asservissement
par une puissante élite.
Quelques
décennies plus tard, nous pouvons affirmer que leur peur était infondée.
Aujourd’hui, il est inconcevable
de vivre dans nos sociétés modernes sans les Technologies de l’Information et la
Communication (TIC).
Outil d’émancipation, il permet aux utilisateurs de
se suffire à eux-mêmes.
Cependant, comme l’Histoire nous l’a appris,
tout progrès s’accompagne de dérives. La cybersurveillance est
ainsi une préoccupation majeure de notre époque.
D’après Murielle Cahen, avocate, la
cybersurveillance se définie comme « le moyen de contrôle technique, sur une
personne ou un processus, lié aux nouvelles technologies et plus
particulièrement aux réseaux numériques de communication ».
Etendue à tous les
domaines, cette thématique est au cœur d’un important débat déchaînant les passions.
Face à la
complexité de ce phénomène, les avis divergent : la cybersurveillance
est-elle une intrusion dans notre vie privée ou un moyen de nous
protéger ?
Existe-t-il des limites à la
cybersurveillance ?
Existe-t-il des lois permettant de cadrer le pouvoir
de la cybersurveillance ?
Existe-t-il par exemple des
législations concernant l’intrusion des employeurs dans la vie
privée des salariés ?
Les réseaux sociaux ont-ils un rôle à jouer dans la
cybersurveillance ?
Faut-il craindre les Nouvelles Techniques
de l’Information et de la Communication ?
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